5 To tweet or not to tweet?

Zate ize ze kouèchtone...
Il y a quelques semaines, une amie postait sur son Facebook qu'elle venait de craquer et s'était inscrite sur Twitter. En commentaire, je lui répondis que je n'avais jamais compris quel était l'intérêt de ce réseau, surtout quand on est déjà sur Facebook. Pour moi, il y avait redondance et donc perte de temps.

"Mais ça, c'était avant."
Avant que je n'ouvre par curiosité un compte pour comprendre cet engouement et que je ne me fasse moi aussi avoir comme un bleu: j'ai posté mon premier tweet (que forcément personne n'a vu puisque je n'avais aucun follower), puis j'ai répondu à des tweets d'inconnus, à des tweets de célébrités (et aucun ne m'a répondu puisque je n'avais aucun follower), puis j'ai live-tweeté des émissions à la con et là j'ai eu mon 1er retweet ET mon premier follower.
En moins de temps qu'il en faut pour le dire, j'étais accro. Twitter a cet instantanéité et cette légèreté que je ne trouve pas (plus?) sur Facebook.

Il n'y a pas énormément de geeks dans mon entourage et de ce fait peu de mes amis sont inscrits. Ce qui, en fait, n'est pas plus mal. Je ne souhaite pas suivre trop de monde pour ne pas me faire bouffer par le système. Si j'ai déjà considérablement réduit mon temps de présence sur Facebook (bon ok, surtout depuis que j'ai arrêté de jouer à Farmville et Cityville!), ce n'est pas pour reperdre les heures minutes gagnées sur un autre réseau chronophage.

Cela dit, entre le "trop" et le "pas assez", il y a un juste milieu que je n'ai pas encore trouvé, et pour l'instant je t'avoue que je me sens un petit peu seul à raconter mes conneries aux deux péquins qui ont eu la bonté de me suivre.

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